Se ronger les ongles pendant 3 jours, cap ou pas cap seras-tu ?
Elzira
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Depuis le : 23/07/2013 , j'ai fait gagner : 0 points ce mois-ci à la faction : Riddle, la faction la plus drôle du moooonde, en jouant : 26437 fois sur Epicarena : . Verte depuis ce jour et pour toujours.
Merci Drill' pour la signa Psst, Invité, tu es fantastique
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Sujet: Re: Ctrl+V Sam 1 Mar 2014 - 22:49
Abracadabra !! OuO transforma Elzira en Stella cosmique et dansa jusqu'au Soleil en 9999, l'année Bi...sexuelle fail , la meilleure maille du pull de mémé Joseline purée rose et son chien Francky russe qui aboyait comme un canard argenté provenant de Mars et dansant pitoyablement comme Sasu' qui buvait l'eau alcoolisée iodé jusqu'à tomber du haut du bas collant de sa mère. Heureusement, un lion végétalien passait en Europe majestueusement sur un psychopathe gentil qui mangeait plein de Dragibus empoisonnés. Malheureusement l'isolé du carton ne scotcha pas correctement droit et devenait bleu cauchemar effrayant et magique tout en étant cinglé mais pas idiot. Quand a la petite-amie de Jigsaw, nous partîmes au Texas sur le dos d'un écureuil pour aller rencontrer iwasawa afin de lui donner du Riddlisme, un légume poisseux au vieux con marchant sur l'arc-en-ciel doré en mangeant goulument des Pringles rose, pour grimper en chemise à carreaux oranges sur le trottoir des grimaces odieuses afin d'interagir avec les Saturniens rouges de jalousie pour dominer la région du territoire Klingon nord avec une esclave estropiée qui mangeait du caca tout dur.
Inévitablement le jus d'orange vert qui coulait partout sur la maison géante du Père Fourras décida de devenir le successeur de Albert Camus. Pour arracher cet horrible furoncle violet au mutant appendice gribouilleur de surligneur, Refia se déshabilla lentement et mit son costume de super héroïne féline-zombie-bigleuse avant de bouffer son pudding radioactif agrémenté d'arômes citronielliens. Anti-poireaux-fraisiers-citrouilles collants furent partout étalés comme de la vieille vaisselle sale et ainsi, ils allèrent pisser tranquillement dans un pot-au-rose démentiel et ensuite les lutins écossèrent leurs têtes de nœuds écossais remplis à ras-bord de poireaux juteux dégoulinants. Flapjack et Pudding faisaient des galipettes dans le grand canyon de Jacques Chirac, ils broutèrent des lamas extravaguant et coolissime. Enouillette Flinn proposa que son doberman fasse des pompes en dansant la prout tout en bouffant des fantômes avariés mais Dumbledore-zombie arriva dans l'isoloir puant et vota pour Badass la géniale crapule sanguinaire qui pédalait à une vitesse phénoménale ! Le chimpanzé couleur sucrette foncée gratta l'ingénue d'aladdin et kidnappa LiarGame et danse avec l'indien Sasuke pour faire des enfants. Et alors c'est ainsi que naquit Joy Solaris toute unique et vivante. Heureusement, sa jambe avait une force herculéenne donnée comme remerciement pour avoir une sauce puante tel que Riddle ou Stella. Joachim était malade de la moelle et devait s'immoler avec du caca senteur champignon des Indes Antillaises. Malheureusement John Lenon tomba sur une saucisse sans peau ni foi qui chantait la cucaracha en tuant un mousquetaire rose pour le papillon embaumé tortionnaire puant fabriquant des chips au levé de la pelouse fondue, il donna un nem au pigeon voyageur tétraplégique qui insultait les Solaris moches ! Mais les poulets verts radioactifs griffant des portes sauvages galactiques retournant vers Flapjack et rigolant ils montent dans le carrosse déformé de KIRIKOU. Autrefois, les chevaux enrhumés à cause du Mia étaient bleus et à Tokyo le crouton atrophié aromatisé moussaka pour tuer François-Gérard-Eustache le paysan mangeur de riddle tout-vert. Paradoxalement, ils vomirent leur chien désorienté du désert! Comme le 15-18 heures faisait rage sur les forums gouvernant des flûtes traversières rondes. Un clown terrifiant se léchait la chaise musicale violette sanguinaire de Psy Chique trop édulcoré chez les peluches rose. La croute raviolis du poisson bleu maudit des bébés siamois était sinistre. Taesica courut dans la salle pleine de mélasse pour distribuer des bouts rouges et Vert afin de recruter des paysans mais Badass avait échoué dans le vent rouge en Californie du frère Gluck au fond d'une tente moisie à cause du Dragibus Bleu. Simiabraz était un con-sanguin puant avec le déambulateur vert, trouvant les roses abracadabrantes jaunies par le pipi jaune argenté de sainte-nitouche. Stylo-Bic creusait son terrier avec un grimoire très ancien sacré tandis que le boucher maladroit désossait la saucisse argentée prisonnière du grand malfaisant indien musical tordu. Soudainement, Ulysse Prunelle Yolo emportait une frangipane gluante bien collante, saveur kiwi comme un kebab coulant mmmmh graisse de chameau hallucinogène épouvantée et grillée. Un gorille collant se leva et inscrit "Je suis pas crétin ok ?" alors pour appuyer sur le pépin comestible du Mog mignon et poli. Soudain, un pot mou en miel grimpait sur Un Crayon Rose tandis qu'elle sursautait en tournant sur elle-même à cause des boules de bowling usées, alors pour évacuer Pudding du couloir éblouissant où l’inévitable caca errait sans but afin de se réduire comme Billy le coyote pour chausser son royal canin rose périmé du mois prochain annoncé au élection Miss France 1967 quand fin.
Cette histoire raconte du haut de la nuit noire, il paraît, un accouchement historique fondamental qui arriva vite. N'importe qui peut imaginer la suite incroyable du récit conté ici. La banderole qui flottait dans Midgard annonçait la couleur bleue d'un des plus beaux êtres : Les Solaris, vermines mais exécrables qui mangeaient tout et n'importe quoi comme du caca en sandwich et des poudres péteuses. Le bateau en cookies s'écoula bruyamment dans la mer de chocolat parfumée à la cannelle Orientale. Mais, sur un rocher en réglisse doré, une sirène carnivore vint dévorer son quatre-heure qui lui offrit une gastro entérique avant de la ronger profondément les entrailles et ensuite la laisser pourrir dans le réservoir maudit. C'était mignon. Par hasard un guadeloupéen péruvien du Maroc arriva sans crier haut et tua OuO, NOOOOOOOONNN pas possible, comment avez-vous pu faire cela ? Alors nous devons unir nos forces et traverser cette rivière droit devant nous, en criant YATAAA ! Mais il était trop tard, les poules avaient des dents et marchaient en canard vers le Babibel qui venait de s'attaquer à Elzira et projetait de tuer toute la faction Riddle. Mais les poules l’encerclèrent et se jetèrent sur lui pour lui pondre un papillon gris turquoise-zombie gris et rose-barbie. Le tonnerre gronda et les éclairs zébraient le ciel nuageux, Martine devait impérativement courir pour détruire le bâtiment adverse général et vicieux. Alors que le motard enragé
Fait des tout petits prouts en espérant éviter le 3e strike
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Inévitablement le jus d'orange vert qui coulait partout sur la maison géante du Père Fourras décida de devenir le successeur de Albert Camus. Pour arracher cet horrible furoncle violet au mutant appendice gribouilleur de surligneur, Refia se déshabilla lentement et mit son costume de super héroïne féline-zombie-bigleuse avant de bouffer son pudding radioactif agrémenté d'arômes citronielliens. Anti-poireaux-fraisiers-citrouilles collants furent partout étalés comme de la vieille vaisselle sale et ainsi, ils allèrent pisser tranquillement dans un pot-au-rose démentiel et ensuite les lutins écossèrent leurs têtes de nœuds écossais remplis à ras-bord de poireaux juteux dégoulinants. Flapjack et Pudding faisaient des galipettes dans le grand canyon de Jacques Chirac, ils broutèrent des lamas extravaguant et coolissime. Enouillette Flinn proposa que son doberman fasse des pompes en dansant la prout tout en bouffant des fantômes avariés mais Dumbledore-zombie arriva dans l'isoloir puant et vota pour Badass la géniale crapule sanguinaire qui pédalait à une vitesse phénoménale ! Le chimpanzé couleur sucrette foncée gratta l'ingénue d'aladdin et kidnappa LiarGame et danse avec l'indien Sasuke pour faire des enfants. Et alors c'est ainsi que naquit Joy Solaris toute unique et vivante. Heureusement, sa jambe avait une force herculéenne donnée comme remerciement pour avoir une sauce puante tel que Riddle ou Stella. Joachim était malade de la moelle et devait s'immoler avec du caca senteur champignon des Indes Antillaises. Malheureusement John Lenon tomba sur une saucisse sans peau ni foi qui chantait la cucaracha en tuant un mousquetaire rose pour le papillon embaumé tortionnaire puant fabriquant des chips au levé de la pelouse fondue, il donna un nem au pigeon voyageur tétraplégique qui insultait les Solaris moches ! Mais les poulets verts radioactifs griffant des portes sauvages galactiques retournant vers Flapjack et rigolant ils montent dans le carrosse déformé de KIRIKOU. Autrefois, les chevaux enrhumés à cause du Mia étaient bleus et à Tokyo le crouton atrophié aromatisé moussaka pour tuer François-Gérard-Eustache le paysan mangeur de riddle tout-vert. Paradoxalement, ils vomirent leur chien désorienté du désert! Comme le 15-18 heures faisait rage sur les forums gouvernant des flûtes traversières rondes. Un clown terrifiant se léchait la chaise musicale violette sanguinaire de Psy Chique trop édulcoré chez les peluches rose. La croute raviolis du poisson bleu maudit des bébés siamois était sinistre. Taesica courut dans la salle pleine de mélasse pour distribuer des bouts rouges et Vert afin de recruter des paysans mais Badass avait échoué dans le vent rouge en Californie du frère Gluck au fond d'une tente moisie à cause du Dragibus Bleu. Simiabraz était un con-sanguin puant avec le déambulateur vert, trouvant les roses abracadabrantes jaunies par le pipi jaune argenté de sainte-nitouche. Stylo-Bic creusait son terrier avec un grimoire très ancien sacré tandis que le boucher maladroit désossait la saucisse argentée prisonnière du grand malfaisant indien musical tordu. Soudainement, Ulysse Prunelle Yolo emportait une frangipane gluante bien collante, saveur kiwi comme un kebab coulant mmmmh graisse de chameau hallucinogène épouvantée et grillée. Un gorille collant se leva et inscrit "Je suis pas crétin ok ?" alors pour appuyer sur le pépin comestible du Mog mignon et poli. Soudain, un pot mou en miel grimpait sur Un Crayon Rose tandis qu'elle sursautait en tournant sur elle-même à cause des boules de bowling usées, alors pour évacuer Pudding du couloir éblouissant où l’inévitable caca errait sans but afin de se réduire comme Billy le coyote pour chausser son royal canin rose périmé du mois prochain annoncé au élection Miss France 1967 quand fin.
Cette histoire raconte du haut de la nuit noire, il paraît, un accouchement historique fondamental qui arriva vite. N'importe qui peut imaginer la suite incroyable du récit conté ici. La banderole qui flottait dans Midgard annonçait la couleur bleue d'un des plus beaux êtres : Les Solaris, vermines mais exécrables qui mangeaient tout et n'importe quoi comme du caca en sandwich et des poudres péteuses. Le bateau en cookies s'écoula bruyamment dans la mer de chocolat parfumée à la cannelle Orientale. Mais, sur un rocher en réglisse doré, une sirène carnivore vint dévorer son quatre-heure qui lui offrit une gastro entérique avant de la ronger profondément les entrailles et ensuite la laisser pourrir dans le réservoir maudit. C'était mignon. Par hasard un guadeloupéen péruvien du Maroc arriva sans crier haut et tua OuO, NOOOOOOOONNN pas possible, comment avez-vous pu faire cela ? Alors nous devons unir nos forces et traverser cette rivière droit devant nous, en criant YATAAA ! Mais il était trop tard, les poules avaient des dents et marchaient en canard vers le Babibel qui venait de s'attaquer à Elzira et projetait de tuer toute la faction Riddle. Mais les poules l’encerclèrent et se jetèrent sur lui pour lui pondre un papillon gris turquoise-zombie gris et rose-barbie. Le tonnerre gronda et les éclairs zébraient le ciel nuageux, Martine devait impérativement courir pour détruire le bâtiment adverse général et vicieux. Alors que le motard enragé donnait
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Comme pour l'eau, le pétrole est très mal réparti dans le Proche et le Moyen-Orient puisqu'il est majoritairement présent au niveau du golfe persique (deux tiers du pétrole et du gaz mondial). Depuis 1945, les États-Unis se positionnent comme protecteurs de l'Arabie Saoudite qui est le 1er pays producteur d'hydrocarbures. Plusieurs conflits récents ont pour origine la mainmise sur le pétrole comme la 1ère guerre du golfe qui débuta par l'invasion du Koweït par l'Irak qui, s'il avait réussi à l'envahir durablement, aurait pu contrôler 20% des réserves mondiales d'hydrocarbures.
Fait des tout petits prouts en espérant éviter le 3e strike
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SURNOM • Sickness ÂGE PHYSIQUE • 19 ans ANCIENNE EXISTENCE • Oliver White - Américain ORIGINE • La perfection ESSENCE • La démence PARTICULARITÉS PHYSIQUES • Sickness est vraiment très beau. Un jeune homme grand d'environ 1m80 et mince, des cheveux châtains, des yeux marrons qui scintillent, un beau visage, du sang sur les mains et sur ses habits. Il se balade en permanence avec un ou plusieurs tournevis.
Dieu •
PSEUDONYME • Un Crayon Rose o/ ÂGE • 16 ans SEXE • Apparemment, je suis une fille. DÉCOUVERTE DE SLUMBERLAND • BONJOUR PAINT. SUGGESTION, BLABLATION • Lalalalala. TON POKÉMON DÉTESTÉ • Tarinorme.
Questionnaire •
½ Nightmares, quels sont les souvenirs de ton humanité qu'il te reste ? Il lui reste presque tout ses mauvais souvenirs, c'est a dire le moment ou on lui a annoncé sa maladie, les problèmes que cela a causé dans sa famille, ses accès de folie et de rage, sa démence, sa condition physique déplorable, le jour ou il a tué sa soeur et est tombé a Nightmareland, toute sa déchéance.
Ephialtès se demande ce que vous pensez des autres habitants ? Les autres habitants, Sickness s'en fiche un peu. Il est devenu froid et associable, si quelqu'un veut devenir son ami, ce devra être quelqu'un de parfait, sinon ça n'ira pas du tout. Il n'hésitera pas à tuer de sang froid les gens qui l'ennuient et jeter leurs corps dans un gouffre en riant.
Ephialtès vous demande s'il y a quelque chose semblable à un cauchemar qui hante vos nuits ? Sickness fait très régulièrement des cauchemars dans lesquels apparaît sa soeur, soit tachée de sang, soit pleurant du sang, morte ou vivante. Il arrive qu'il se voit lui même en train de la tuer sans pouvoir contrôler ses mouvements.
Ephialtès aimerait savoir si vous possédez un souhait malveillant ? Tous. Mourrez tous.
Caractère •
Sickness se considère comme parfait. Pour lui, il n'y a personne qui lui arrive à la cheville. Tous. Tout le monde, vous êtes tous inférieurs. Et vous lui devez le respect. C'est comme ça que pense Sicikness. Si vous ne voulez pas ? Il se fera un plaisir de vous tuer, peu importe qui vous êtes. Oui, parce que Sickness est aussi très mentalement instable, il se peut qu'il soit prit d'un accès de folie et fasse n'importe quoi. N'osez jamais lui dire qu'il n'est pas parfait. Sickness est violent, associable, froid, fou, sadique et mauvais. Il n'est vraiment pas du tout quelqu'un de fréquentable. De plus, il a complètement perdu la tête depuis qu'il est arrivé a Nightmareland. Alors il se peut qu'il ne voit pas la réalité et hallucine. Il se peut qu'il voit des fantômes, il se peut qu'il vous prenne pour quelqu'un de menaçant alors que vous ne l'êtes pas, il se peut qu'il tente de vous assassiner discrètement alors que vous n'avez rien fait ou presque. Il hallucine tellement qu'il peut vous prendre pour quelqu'un d'autre aussi. Un véritable psychotique. Il lui arrive de rire pour un rien, de pleurer pour un rien, de crier pour un rien. Mais au fond, outre sa folie, Sickness est quelqu'un de complètement désespéré, et est faible face a la sincérité. Parce que oui, il est possible d'avoir une conversation normale avec lui. Mais ça, ça dépend du temps, du vent de gens. Il a peur du noir. Il est terrorisé par le noir à cause des nuits qu'il passait dans sa chambre, et où les trois monstres -ses hallucinations- l'attaquaient. Il a peur de se réveiller aveugle, ou quelque chose comme ça. Sickness psychote pour un rien. Néanmoins, à part ça, il est très courageux et spontané. Il ne fait jamais attention aux conséquences que peuvent avoir ses actes. Il est aussi faible face a l'amitié. Comme il a été très isolé pendant les dernières années de sa vie et qu'il s'en souvient, il cherche un ami, ou deux. Une fois des amis trouvés, il ne leur fera rien. Il les protégera de manière excessive. Il les suivra. Il sera sage avec eux. Il ne les blessera pas. Il ne leur criera pas dessus. Il sera un ami fidèle, très fidèle parce que "Après tout, nous sommes amis, non?". Après, si il est capable de les attaquer ou pas, on ne sais pas. Mais il n'en reste pas moins parfait.
Histoire •
«C'est un garçon.»
Je suis né. Il était 23h45, le 18 Août 1979 à l'hôpital de Washington. J'étais un beau bébé, un très beau bébé. Pas seulement parce que je suis né par césarienne, et que donc j'étais plus beau que la normale, mais parce que j'avais un beau visage. C'est vrai, j'ai toujours eu un beau visage. Des yeux profonds, d'un marron brillant, une figure d'ange, des cheveux châtains. On peut dire que j'ai été gâté. De toute façon, ça à toujours été comme ça. La chance me sourit, ma vie est belle. Regardez-moi, regardez-moi, j'ai des amis, je suis populaire auprès des filles, je suis intelligent et je réussi mes études. Ne suis-je pas parfait ? Il faut l'admettre. Quand j'étais un gamin de 5 ans, tout les parents me regardaient à la sortie de la maternelle.
«Qu'il est mignon !»
C'est ça, complimentez-moi ainsi que mes parents, je le mérite bien après tout, non ? Je sais qu'au fond, vous êtes envieux de n'avoir eu un petit garçon aussi parfait que moi. Déjà à un jeune age, je comprenais tout ce qu'on me disait. J'apprenais plus vite que les autres, et j'étais en avance. Le rêve, n'est-ce pas ? Quand je suis rentré a l'école primaire, j'ai sauté une classe. D'ailleurs, les professeurs voulaient me faire passer un test de Q.I. Hmpf, un test de Q.I, c'est inutile. On le sait déjà que je suis intelligent.
Dans ma famille, tout se passe bien. J'ai deux parents, et j'ai une petite sœur pour qui je ferais tout. Quand je regardais la télé à 8 ans, et que je voyais toutes ces stars a la télévision, je me disais que je voulais devenir comme elles. Tout ces acteurs adulés, j'aimerais bien leur ressembler. Vous pensez que je me vante trop, mais c'est faux. Quand on est fantastique, il faut savoir le reconnaître, c'est tout. De toute façon, je savais que si je le voulais, je pourrais faire ce métier plus tard. Et c'était ce que je voulais.
- Maman, Maman ! Moi aussi quand je serais grand, je passerais dans la télé comme eux ?
- Bien sûr mon chéri, on pourrait aller prendre des cours de théâtre, qu'est-ce que tu en dis ?
- Oui je veux ! Merci Maman !
C'est mignon. Oh, comment j'étais quand j'étais petit ? Un gentil garçon. Plutôt timide avec les inconnus, mais je me faisais toujours pleins d'amis, j'étais sociable. Bien sûr, ma bonne éducation fait que j'étais respectueux, aimable, serviable et tout ce qui va avec. On ne peut pas être parfait sans ça. Les compliments sur moi fusaient, tout les jours, et mes professeurs étaient fiers de moi. Puis j'ai commencé les cours de théâtre
Oliver, 10 ans.
-Stop ! Arrêtez, on va la refaire. Sophia, tu t'es trompée dans le texte, et ton personnage est censé être surpris.
-Oui, monsieur.
Ils se remettent en place. M. Clark le professeur de théâtre à l'air énervé aujourd'hui. Il n'est pas très gentil avec Sophia. Oliver a le premier rôle, on le lui a donné parce que le professeur trouve qu'il un très bon jeu d'acteur. Il est suis fier de lui, il toujours eu le premier rôle depuis qu'il fait du théâtre. Ses parents aussi sont fiers de lui ! La scène recommence. Il doit rejouer le moment ou il surgit de derrière le banc pour lui faire peur. Cette année, la pièce que nous interprétons est "Ange et démon".
C'est la fin du cours, et sa Maman vient le chercher ! Elle a dit qu'elle avait une surprise pour lui aujourd'hui. Il a tellement hâte !
- Maman, c'est quoi la surprise ? S'il te plait, je veux savoir !
Maman a passé sa main dans les cheveux d'Oliver en souriant.
- Je t'ai inscrit a un casting, pour une publicité. Tu es content ?
Un casting ? Pour une publicité ? Quel genre de publicité ? Si il peut commencer ma carrière en faisant ça, alors c'est une super bonne nouvelle !
Oliver, 15 ans.
-Tu as vu Oliver ? Il est trooooop beau ! -Oui ! Il parait qu'il est célibataire en ce moment ! Tu devrais peut-être aller le voir ? -T'es folle, j'vais me faire jeter direct.
Le jeune homme avance d'un pas confiant dans la cours du lycée. Tout le monde le connait ici, en même temps, il a fais plusieurs publicités, parce qu'il réussi souvent ses castings. D'ailleurs, il a même commencé a faire du mannequinat, puisqu'il apparaît sur la couverture d'un magazine ! Bon, il ne s'en vante pas, mais il est super heureux de pouvoir commencer sa carrière. Au lycée, les gens l'aiment bien. Il fait partie de ces gens "populaires" que les gens regardent. Ca ne le dérange pas, bien qu'il n'en fais pas une fierté non plus. Il aides amis partout, enfin, tout le monde l'aime bien, quoi. Tiens, aujourd'hui Oliver dois faire des photos encore pour un magazine, mais ça l'énerve un peu, il espère qu'il pourra bientôt avoir son premier rôle dans un film ou autre ! M. Clark a dit que ça sera possible dans pas longtemps, il faut juste qu'il continue de travailler dur. Allez, pour ses parents, et pour sa soeur aussi, qui est si fière de lui !
Là il rentre a la maison avec ses amis. Puis il va directement voir sa soeur chérie.
-Comment ça s'est passé ta journée ?
Sa soeur qui est sur son lit, se retourne et quand elle le voit, vient lui sauter dans les bras.
-Super bien ! Et toi ? Tu n'as pas des photos a faire aujourd'hui ?
Oliver grimace un peu. Il avait oublié cette histoire de photos... Bon, Il va y aller de toute façon. Sa soeur, il ferait vraiment n'importe quoi pour elle.
-Ouais je sais, je vais y aller là, tu m'accompagnes ?
Ils sont allés tout les deux a la séance et tout s'est très bien passé, après, ils sont seulement rentrés a la maison.
«Ce petit, il va devenir une vraie star, ces photos sont superbes»
Oliver, 19 ans.
-Oliver, tu trembles ?
Oliver tentait de garder son sang froid. Sa soeur le regardait avec un air inquiet, pendant que sa main imprécise n'arrivait pas a attraper correctement un stylo posé sur son bureau.
Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Je ne suis plus maître de mes mouvements... Et ce depuis quelques temps déjà. J'ai peur. J'ai tellement peur, mais je suis sûr que ce n'est rien, ce n'est pas la peine d'aller voir un médecin, je le sais. J'en suis sûr.
-Non, c'est bon regarde...
Le stylo dans sa main est tombé par terre. Sa main l'avait laissé échapper. Il se baisse pour le ramasser de nouveau, car il sent qu'il le peut pas abandonner
-Oliver, tu... tu dois aller voir un médecin.
Elle a raison. Elle a tellement raison, mais il déteste ça. Oliver déteste quand elle a raison sur ce point là. Il tente se rassurer et de se dire que ça va passer, mais au fond de lui, il n'en est pas certain.
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«Vous êtes atteint de la chorée de Huntington.»
Ces mots le glacèrent. La quoi... ? La chorée de Huntington ? Tout les deux sont assis, son père et lui, devant le bureau du médecin. Celui-ci les regarde avec les résultats de toutes les analyses qu'Oliver a faite jusque là. La tête du jeune garçon s'est vidée de toutes pensées. Il n'arrivait plus a réfléchir, ni a parler. Pas même a prononcer un seul mot. Il resta juste stoïque pendant quelques longues secondes de silence, puis il fut envahi de toutes sortes de questions. "Qu'est-ce que c'est ?" "Est-ce que c'est grave ?"" "Ca se guérit ?" "Combien de temps ça va rester, comme j'ai attrapé ça ?!"
Autant de questions qu'il n'arrivait pas lui-même a poser au médecin. Alors son père le fit a sa place.
-La Chorée de Huntington est une maladie héréditaire grave. C'est une dégénérescence neurologique provoquant d’importants troubles moteurs et cognitifs, et, dans les formes les plus graves, la perte de l’autonomie, la démence et la mort. Il y a plusieurs traitements, mais à ce jour, ils ne font que retarder la progression de la maladie. Vous êtes atteint de la force précoce qui se manifeste entre 15-25 ans.
Puis le médecin leva ses yeux de la feuille de résultats, se retourna, la rangea, et, d'un voix toujours aussi impersonnelle, reprit la parole.
-Je suis désolé.
Oliver, ?? ans.
Quelques années on passées depuis la découverte de la maladie d'Oliver. Son état a beaucoup empiré depuis, il ne saurait dire quel âge il à présent. Cette nouvelle a bouleversé la famille entière. Sa petite soeur a du trouver du travail afin d'aider financièrement son père a payer le traitement. Oliver a raté tout ses castings depuis, et n'a plus aucun contrat. Sa carrière s'est terminée. Depuis sa grande défaite, Oliver ne parle presque plus. Il ne se confit même pas à sa soeur, et se contente de rester allongé tout la journée dans le fond de son lit. La nuit parfois, il hurle, se lève et renverse tout autour de lui. Il lui est même arrivé d’agresser son père qui tentait de l'arrêter. A bout de nerf, il a installé une serrure a la porte de sa chambre, et bloqué les fenêtres. Malgré ça, Oliver pleure et crie toujours autant la nuit, laissant échapper des plaintes et des lamentations distordues, incompréhensibles. Il ne pouvait rien faire. On ne pouvait pas le laisser seul. Ses mains tremblaient tellement qu'il ne pouvait pas tenir une fourchette. Souvent, on ne comprenais pas ce qu'il disait. Il divaguais. Encore et toujours. Il inventait des gens. Des prénoms. Sa démence était telle qu'il ne savait même plus si il se trouvait nu dans sa salle de bain, ou au rayon surgelé du super-marché. Parfois, il arrivait à son père de penser à le supprimer. Par égoïsme, par pitié, par fatigue et exaspération, par amour. On ne sait pas. En tout cas, il n'y a plus aucun signe de colère dans les yeux d'Oliver. Il n'y a plus rien.
«La situation est devenue invivable»
Oliver, ?? ans.
Je me levais. Il n'y avait pas de murs là où je me trouvais maintenant, et des choses dégoûtantes étaient rependues au sol. J'avais finis par m'habituer à ce sale décor qu'est devenu ma maison. Enfin, je crois que c'est ma maison. Je suis dans ce qui semble être ma chambre comme a mon habitude. Le lit n'a pas été fait depuis longtemps. Et je m'aperçois, la porte de ma chambre, elle est déverrouillée.... Comment ? Qui ? Tant pis. Je peux sortir. Je suis libre. Je vais en profiter. Je descend les marches en prenant soin de m'agripper à la rampe de mes mains instables. Et je me retrouve dans ce qu'il semble être la cuisine. Hm, ce n'est pas pareil. Ca a encore changé, encore, encore. Le décor n'est jamais le même. Pourquoi ?.... En revanche, ce sont les monstres qui sont les mêmes. Toujours. Les mêmes. Ce sont ces trois filles. Elles sont laides a en hurler, elle sont toujours dans ma chambre, je le sais, je le sens. Une a une grande bouche avec ces dents de requin. Une autre n'a pas de visage. Et la dernière n'a que des yeux mal placés et gorgés de sang. Je n'en peux plus. Sortez moi d'ici, par pitié. Si cela vous convient, vous pouvez même me tuer. Je ne veux plus vivre dans ce corps qui me retient prisonnier. Mon père, ma soeur... Il y a longtemps que j'ai oublié leurs vrais visages. Et pour tout vous dire, petit a petit, j'ai commencé a ne plus comprendre ce qu'ils me disent. Tout ça, c'était petit a petit. Pour en arriver là, a ce point. Quand est-ce que la maladie finira par me tuer ? Je m'assoies par terre, sur le sol. Ca n'a plus d'importance là où je me trouve. Je pourrais très bien être au paradis ou en enfer, c'est la même chose pour moi.
*Clac.*
Uh ? Qu-qui est là ? J'ai entendu une porte claquer..... C'est papa ? Ou soeurette ? O-oui, ça doit être ça, ça doit être ça.
Les bruits de pas se rapprochent un peu plus de moi. Je les entends maintenant. Il est tout près. Il est juste là. Qu'est-ce qu'il me veut ? J-je....
"You're not perfect."
Qui est là ?! Ca suffit maintenant. CA SUFFIT. La ferme, la ferme, la ferme, LA FERME. Une chose est apparue devant moi. Cette chose. Une silhouette floue. Elle ressemblait a un homme, et était complètement transparent, il n'y avait qu'un sourire sur son visage. Il répétait sans cesse la même chose, la même phrase, toujours. J'avais l'impression que ça résonnait dans ma tête.
"You're not perfect"
-Ta gueule ! Mais ferme ta gueule !
Alors qu'il s'approchait doucement de moi et qu'il commençait a virer au rouge, je me suis levé, et ai attrapé la première chose que j'avais sous la main. Un tournevis. Je ne sais pas ce qu'il foutait là, mais rien a foutre, je voulais juste le faire taire, je voulais qu'il arrête de m'enfoncer. Je voulais qu'il MEURT.
Alors j'ai enfoncé l'objet dans son torse. Il est mort. Il est mort ? Il ne bouge plus. Il est mort. Alors qu'une flaque de sang se rependait sur le sol, le visage de ma soeur est apparut a la place de la tête du monstre. Pourquoi ? Pourquoi des larmes se sont mises a couler le long de mon visage taché de sang ? Ma vision se brouille. Tout devient noir. Comme si je m'endormais, pour toujours.
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Oliver, 25 ans.
Oliver s'est levé de son lit. C'est inhabituel, mais il a remarqué que la porte de sa chambre n'est plus verrouillée. Fait exprès, ou simple erreur ? De sa main tremblante, il attrape la poignée et sort. Il semble comme subjugué par l'intérieur de sa propre maison, presque dégoûté, même. Aucun son ne sort de sa bouche, c'est comme si il ne comprenait rien au monde qui l'entoure, enfermé dans sa bulle, dans sa démence. Il descend les escaliers, un a un, lentement, et arrive dans le salon. C'est ici qu'il reste planté pendant quelques longues et silencieuses minutes, incapable de faire quoique ce soit, avant de s'asseoir tranquillement au milieu de la pièce. A quoi pense t'il ? Est-ce qu'il pense, d'ailleurs ?
*Clac*
-Je suis rentrée !
Oh, voila. Voila la soeurette. Elle revient des courses, elle veut faire a manger pour tout le monde. Oliver devrait être rassuré par sa présence, non ? Pas vraiment.
-O-oliver ? Qu'est-ce que tu fais là ? Viens, je vais te ramener dans la chambre, viens avec moi.
Sa soeur l'approche doucement. Elle sait s'y faire avec lui, elle a apprit. Mais ça ne se passe pas vraiment comme prévu. Oliver tremble, il panique. Il regarde sa soeur comme si elle était une sorte de monstre abominable. Il l'a regarde avec tant de haine. C'est la première fois depuis longtemps que l'on peut voir un éclat dans ses yeux. Malheureusement, le drame est arrivé.
-Qu'est-ce que tu as ? Hé... ne t'en fais....
Dis t'elle tout en avançant vers lui.
-Ta gueule ! Mais ferme ta gueule !
Le hurlement de la jeune fille en fit trembler les murs. Quelle catastrophe... le voila fratricide. A genoux devant le cadavre de sa pauvre soeur qui se vide de son sang, il tient encore ce tournevis dans sa main. Et puis, il se met a pleurer. A pleurer, et a rire, en même temps. Il secoue doucement le corps, comme si il voulait la réveiller, mais c'est inutile. Enfin, Oliver disparu dans les méandres de son désespoir, il devint Sickness.
Sickness, aujourd'hui.
Je suis Sickness. Je suis votre Dieu. Vénérez-moi, aimez-moi. C'est moi qui suit parfait ici, MOI. Moi, moi, et moi seul, et personne d'autre ne m'arrive a la cheville. Même pas cet Ephialtès. Alors comme ça, c'est lui le Dieu ici ? Impossible. Il n'y a de la place que pour un seul Dieu, et ça ne peut être que moi, étant donné que je suis l'être parfait en ces lieux. Oh, vous n'êtes pas contents ? Je m'en fous. Oh, vous n'êtes pas d'accord ? ALORS MOURREZ.
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