Bonjour, bonsoir, chers amis loutres des champs de cotons !
Après les dragibus carnivores, les ampoules arrogantes de Papouasie, les singes roses du Liberia et le café putride des marais de Koukounichtatla, je suis ici pour vous parler d'un sujet tout aussi important : la macarena dans la société moderno-antiquesque, et plus précisément, chez les Riddle d'Epicarena, ce peuple terrifiant venant de contrées auquel aucun kakapo, que dis-je, aucun lama, n'a pu échapper. D'où leur vient la macarena ? C'est une bonne question, à laquelle je ne saurais répondre que : Oui. Il n'y aucune explication à cela, on ne sait pas comment elle est apparue. Les légendes racontent qu'un poney s'étant échoué sur ces terres un jour a alors ramené une étrange danse : la macarena. Cette légende n'est pas entièrement fausse et débile, car on a déjà prouvé que ces poneys s'en servaient comme parade nuptiale. Mais alors, pourquoi ce peuple l'a elle aussi adoptée ? Surement pour la même raison que les poneys. Nous pensons aussi que c'est en grande partie grâce au SWAGG, forte réaction chimique opérant dans la tête de ces habitants. Comme de nombreuses choses à leur sujet, on ne connait rien de ce SWAGG. Mais nous savons que cette tradition pittoresque qu'est la macarena, n'est apparemment pas présente partout dans le vaste pays d'Epicarena : leurs voisins primo n'ont pas l'air de s'en servir, et en ont l'air même très dérangés... Ce qui est sûr, c'est que la macarena chez les Riddle est très importante, au même titre que les fleurs de chocolat, cultivées dans l'ensemble de la région, et que le gogo-dancing, surtout pratiqué au nord.
C'en est fini de ce reportage merveilleusement macarenesque, allons plutôt observer la reproduction des poissons-couteaux des mers orientales, maintenant !